UniversCiné utilise des cookies afin de vous offrir une expérience utilisateur optimale.
En les acceptant vous nous permettez d’améliorer nos services, de mesurer notre audience, de personnaliser votre expérience et vous pourrez bénéficier des fonctionnalités relatives aux réseaux sociaux.
Vous pouvez personnaliser vos choix en cliquant sur « PERSONNALISER » et obtenir davantage d'informations en consultant notre politique de gestion des cookies.
This is a modal window.
Début de la fenêtre de dialogue. La touche d'échappement annulera et fermera la fenêtre.
Fin de la fenêtre de dialogue.
Alors que des zombies ont envahi le monde et massacré toute la population, quatre rescapés, deux hommes et deux femmes, unissent leurs forces pour survivre.
Un virus s'est propagé à travers le monde, transformant les humains en zombies. Aux États-Unis, le jeune Columbus fait équipe avec un dur à cuire, Tallahassee. Au cours de l'exploration d'un supermarché, ils rencontrent deux sœurs. Ensemble, ils traversent le pays, à la recherche d'un endroit sûr...
Le lecteur n'est pas installé ?
Pour votre information, la lecture en mode hors-ligne n'est pas compatible avec le système d'exploitation Linux
"Jusqu'à présent lorsque l'on évoquait l'étrange combinaison « comédie avec
"Jusqu'à présent lorsque l'on évoquait l'étrange combinaison « comédie avec des zombies », le seul véritable prétendant au titre était le génial Shaun of the dead d'Edgar Wright, tous les Dead and Breakfast et autres Nuit des loosers vivants ne parvenant même pas à s'illustrer positivement dans le registre de l'horreur. Pourtant, il va dorénavant falloir faire avec Bienvenue à Zombieland, alternative ricaine bien sentie et carrément allumée. Rock'n'roll, irrévérencieux, très drôle et franchement dingue, le premier film de Ruben Fleischer a tout pour devenir instantanément culte et ce malgré quelques légères maladresses.
Assurément Bienvenue à Zombieland risque de souffrir de la comparaison avec son homologue britannique : si Shaun of the Dead se révélait être une authentique comédie ayant pour fond une dimension horrifique, elle est surtout réputée pour être un des fleurons du film de zombie. Et c'est très certainement en toute connaissance de cause que Ruben Fleischer se sera lancé dans l'entreprise Zombieland. Car à l'arrivée, il s'agit de deux métrages bien distincts n'ayant finalement comme unique point commun la présence des hordes zombiesques. D'ailleurs si le premier sera évidement imprégné de l'humour « so british » , le second se fera porte-étendard d'un cinoche totalement décomplexé et définitivement « wild »! Fin de la comparaison...
Bienvenue à Zombieland se révèle donc être une brillante métaphore de la complexité américaine : le film véhicule sans interruption cette improbable faculté à faire cohabiter des dogmes et cette hallucinante revendication libertaire sans fin... Assez logiquement, le métrage prend donc les allures d'un road movie déjanté, ballade sauvage dans laquelle s'embarque Columbus (Jesse Eisenberg, fils spirituel de Rick Moranis), un tocard qui ne survit dans le chaos ambiant que par à la mise en application de règles de survie. Ne pas aller aux toilettes, attacher sa ceinture, faire du cardio... Autant de doctrines salvatrices qu'il suit rigoureusement jusqu'à sa rencontre avec Tallahassee (Woody Harrelson débridé), un plouc aux allures de cow-boy chasseur de zombies, partisan d'une politique anarchisante! Road movie, Buddy movie, comédie grasse et outrancière, Zombieland s'apparente plus à un tour de montagne russe dans la grandiloquence américaine, chaque incartade dans un nouveau registre apportant son lot d'émotions.
Et c'est peut être là que le bas blesse : à force d'aborder de nouveaux sentiers, le film ne fait que les survoler, le spectateur trouvant systématiquement son confort dans la nouvelle farce mais ne trouvant jamais assez pour se rassasier. Subsistent malgré tout une accumulation de séquences d'anthologie, le scénario faisant la part belle aux rebondissements absolument dingues. Car plus encore que de proposer comme uniques survivants des minables dont les actions seront légitimes mais de mauvais goût (la destruction du magasin d'un indien pour se défouler est forte symboliquement en provocation), le film s'évertue dans la recherche du défi: au détour d'une réplique, on crache sur la maison de production concurrente, on renouvelle ici notre passion pour les beaufferies les plus inavouables... "
"Il y a des films, comme ça, qu’on a envie d’aimer au simple énoncé de leur pitch ou de leur casting,
"Il y a des films, comme ça, qu’on a envie d’aimer au simple énoncé de leur pitch ou de leur casting, et Zombieland en fait partie. Dans une Amérique peuplée de zombies, quatre compagnons de fortune – un puceau (Jesse Eisenberg), un redneck jovial (Woody Harrelson), une jeune fille intrépide (Emma Stone) et sa petite sœur de 12 ans (Abigail Breslin) – tentent de rejoindre la Californie. Sans autre objectif que l’amusement (il ne s’agit plus de défendre Fort Apache ou un supermarché assiégé, mais un parc d’attractions), la petite troupe, décontractée et professionnelle, enchaîne blagues, massacres de zombies et drague de campus, dans un mélange des genres réussi. Pas la peine de noyer le débutant Ruben Fleischer dans un torrent référentiel (Howard Hawks, George Romero, John Hughes), mais souligner qu’il a réussi là un film cool. Et c’est déjà beaucoup."
Jacky GoldbergNos offres d'abonnement
BASIQUE ETUDIANTS
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 4,99€ /mois
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 6,99€ /mois
PREMIUM
9 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
15 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
*A l'exception des films signalés
BASIQUE ETUDIANTS
49 | ,99€ |
/an |
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
69 | ,99€ |
pour 1 an |
PREMIUM
99 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
175 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
Vous devrez fournir un justificatif de scolarité (carte étudiante ou certificat, en .pdf ou .jpg).
UniversCiné se réserve le droit d'annuler l'abonnement sans possibilité de remboursement si la pièce
jointe envoyée n'est pas conforme.
Offre valable 12 mois à partir de la date de l'abonnement
_TITLE