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Jack, un tueur en série considérant ses crimes comme des oeuvres d'art, raconte son parcours en revenant sur cinq meurtres qui ont marqué sa vie.
Jack, un tueur en série, se confie à un mystérieux personnage nommé Verge. Il lui fait part de la vision qu'il a de ses crimes, qu'il considère comme des oeuvres d'art et lui raconte son parcours en cinq meurtres qui ont marqué sa vie. Jack revient sur ses inspirations, sa philosophie, sa chance incroyable et sa recherche de l'oeuvre d'art ultime.
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"Celles et ceux qui escomptent de la terreur seront servis. Mais The House that Jack built est un peu plus qu’un film d
"Celles et ceux qui escomptent de la terreur seront servis. Mais The House that Jack built est un peu plus qu’un film de genre. Fondamentalement « grotesque », il offre aussi une méditation sur le mal, en même temps qu’un autoportrait à peine déguisé. Il est évident que le cinéaste a projeté beaucoup de lui dans ce double démoniaque et caricatural, Jack, esprit scientifique, intelligent mais brouillon, imprévoyant, infantile, rongé de TOC qui le mettent en danger. [...] Plus le film avance, plus le cinéaste prend des risques, et plus l’humour noir s’efface au profit d’un crescendo vraiment angoissant, menant à une chambre froide macabre."
Jacques Morice"Après sa trilogie « féminine » (Antichrist, Melancholia, Nymphomaniac), le cinéas
"Après sa trilogie « féminine » (Antichrist, Melancholia, Nymphomaniac), le cinéaste continue de s’affirmer comme un alchimiste médiéval, un artiste scrutant les abymes d’un monde originaire pour y retrouver l’élan pulsionnel, la formule secrète, entre kitsch et sublime, entre humour et romantisme noir, qui donnerait la clé tout à la fois d’une explication de l’Univers et de ses lois mystérieuses, ainsi que de la possibilité de sa transposition symbolique."
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